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Nasser Al-Khelaifi s’est exprimé dans une interview accordée à nos confrères du Dauphiné Libéré. Le président du PSG a évoqué plusieurs sujets, dont son nouveau rôle au sein de l’UEFA et le fair-play financier.

C’est officiel depuis quelques jours, le président parisien intègre le Comité Exécutif de l’UEFA mais en quoi consiste son rôle. Le principal intéressé en dit davantage dans cette interview :

Nasser Al-Khelaifi évoque son nouveau rôle au sein du Comité Exécutif de l’UEFA

“Au-delà de la dimension prise par notre club ces dernières années, je veux surtout y voir un signe de l’importance du football français sur la scène européenne. Comme vous le savez, le football français, entre sa victoire à la Coupe du monde et l’excellence de son système de formation, est aujourd’hui l’un des plus compétitifs et attractifs du monde. Mes fonctions à l’UEFA viseront néanmoins à défendre les intérêts et à promouvoir les projets de l’ensemble des clubs européens que j’aurai l’honneur de représenter.”




Par ailleurs, l’UEFA est toujours derrière le PSG concernant le fair-play financier. Le club de la capitale a saisi le tribunal arbitral du sport il y a plusieurs semaines. Interrogé sur le sujet, Nasser Al-Khelaifi a exprimé la sérénité du club vis-à-vis de la décision finale.

Le dirigeant a tenu à affirmer que le PSG a toujours été en conformité avec les exigences de l’UEFA :

Nasser Al-Khelaifi évoque le fair-play financier

“Il n’a jamais été question d’inquiétude au sein de notre club. Suite à l’ouverture d’une procédure par l’UEFA en septembre 2017, sous la pression d’un dirigeant espagnol qui a peut-être craint alors pour ses intérêts personnels, nous avons répondu point par point à toutes les questions de nos interlocuteurs. Nous avons participé à ces échanges réguliers dans la plus grande transparence et avec le plus grand sérieux apporté à nos réponses. Soyez-en sûrs, notre club est géré avec le plus grand professionnalisme. Si tel n’était pas le cas, les plus grands joueurs du monde ne souhaiteraient pas venir chez nous. Et ils n’y seraient pas aussi épanouis qu’ils le sont aujourd’hui.”